Ce bagage artistique m’a ensuite donné l’opportunité d’entreprendre de nombreux projets qui sont du domaine professionnel : conception d’un programme d’arts plastiques dans le cadre d’un camp de jour, animation d’ateliers sur l’art urbain adressés aux enfants et adultes, enseignement de la bande dessinée dans un centre de loisirs, restauration d’affiches publiques dans des cafés&bistro et mise sur pied d’un boutique en ligne pour confectionner et vendre des œuvres d’art et des objets artisanaux.

Née à Kyiv, en Ukraine, et actuellement basée à Montréal, Iryna Merkulova est une artiste visuelle dont le parcours créatif puise son inspiration dans les processus sociaux complexes du monde moderne, particulièrement au sein des environnements urbains. Titulaire d'un baccalauréat en beaux-arts (avec distinction) de l'Université Concordia, l'exploration artistique de Merkulova englobe la peinture, le dessin et les techniques mixtes. Elle a participé à de nombreuses expositions à travers le Canada, bénéficiant du généreux soutien du Conseil des arts du Canada et de diverses organisations culturelles publiques.

Isabelle Arsenault est une illustratrice de livres reconnue et primée à plusieurs reprises sur la scène internationale.

James Kennedy est un artiste visuel né à Québec en 1973, il vit et travaille à Montréal. Depuis 2008, James explore différentes techniques telle que la coupe au laser, la gravure, la sérigraphie et la photographie pour donner naissance à des tableaux d’acier. Il s’intéresse particulièrement à la tension, entre robustesse et légèreté profonde, que créé ce métal quand il est ajouré. C’est cette dichotomie qui constitue la force de ses créations en ton sur ton. Il explore les propriétés plastiques et physiques de l’acier de même que ses liens avec la géologie, la géographie et l’industrie. Ainsi, faisant suite aux séries intitulées Continents (2008–14), Îles et Lacs (2014–18), l’oeuvre récente de James Kennedy s’affirme dans la figuration en dévoilant des structures et sites industriels emblématiques de l’utilisation historique de l’acier dans les domaines de l’architecture et de l’ingénierie. A travers cette série, James fait se rencontrer les arts plastiques et les techniques de création industrielle dans des oeuvres fortes marquées par leur évidence.

L'art de Saintonge a su séduire de nombreux collectionneurs privés à travers le monde. Ses œuvres sont précieusement conservées dans des collections à Hong Kong, au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Italie, en Israël et en Indonésie. Par ailleurs, le talent et la vision artistique de Saintonge ont été reconnus par la Standard Chartered Bank à Hong Kong. En 2022, l'une de ses oeuvres a trouvé une place permanente dans leur collection, consolidant ainsi son statut d'artiste très respectée.

Jean-Christophe Yacono (yako) est un artiste visuel et réalisateur multimédia franco-canadien. Photographe, vidéaste, directeur photo, monteur, auteur et concepteur d’œuvres interactives et numériques pour petits et très grands écrans ou espaces publics, sa pratique se révèle dans une image en mouvement, photographique ou animée, vivante, contrastée et granuleuse. Il s’intéresse au mouvement générateur de réactions et d’interactions, aux flous, glitchs, artefacts analogues ou numériques et à la co-création transdisciplinaire et transmédia.

Jennifer Laoun-Rubenstein est titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts, majeure en peinture et dessin, de l’Université Concordia. Elle s’exprime à travers la peinture, le dessin, et la sculpture, en passant par les arts de la fibre, les pratiques artisanales, et la création littéraire.

Jeraume, artiste visuel de Québec, a consacré plus d'une décennie à Montréal avant de revenir à ses racines. Attiré par les arts appliqués dès son jeune âge, son parcours académique est marqué par des expériences variées. Créateur impulsif, il exprime son amour pour l'art à travers le dessin au crayon de bois. Explorant des thèmes liés aux lieux, au design de l'espace et aux objets du quotidien, Jeraume utilise une mosaïque de couleurs et de formes abstraites. Réceptif aux émotions, il les adopte comme guides pour sa création, restant discipliné dans sa pratique tout en explorant différents médiums, fidèle à la trame subtile de sa démarche artistique.

Khadija Baker is a Montreal-based, multidisciplinary artist of Kurdish-Syrian descent (born 1973 in Amuda, Syria). Baker immigrated to Canada from Syria in 2001; she completed her MFA studies at Concordia University 2012. She is a core member of the Centre for Oral History & Digital Storytelling (COHDS) at Concordia University. Her installations investigate social and political themes centered on the uncertainty of home as it relates to persecution, identity, displacement, and memory. As a witness to traumatic events, unsettled feelings of home are a part of her experience. Her multidisciplinary installations often combine textiles, sculpture, performance, sound and video, and involve participative storytelling and performance to create active spaces for greater understanding. Baker continues her research creation at the Centre for Interdisciplinary Studies in Society and Culture (CISSC) at Concordia University. She was awarded Rewilding Arts Prize by David Suzuki Foundation and Rewilding Magazine. Most recently she was awarded Miriam Aaron Roland Family Scholarship for her research creation at Concordia University.

Prenant appui sur une pratique de la photographie et s’articulant autour de l’archive, de la matérialité, du texte et de l’image, mon travail interdisciplinaire explore les rapports intimes tissant mémoire, langage, territoire et identité.