Rêveur, distrait, idéaliste, naïf, passionné, analytique, fou… Carlos Fernandez, « El Manos » (« Mains »), est un individu commun, avec un goût particulier de regarder un peu au-delà de l’évidence. Cherchez l’angle doux des choses, la lumière dans l’obscurité.
Depuis son enfance, dans son pays natal le Mexique, a l’opportunité de rencontrer les beaux-arts : percussion, violon, orgue électrique, crayon de couleur, acrylique, aquarelle… Bien qu’il n’ait jamais maîtrisé aucune de ces disciplines, ce mélange d’expériences lui permet d’enrichir son travail.
Le premier contact sérieux avec la photographie a eu lieu à l’Université : la bobine, le papier, la lumière rouge, les produits chimiques à développer, la suspendre pour la laisser sécher… Aujourd’hui, ce sont des lignes romantiques. Plus tard, il a l’occasion de travailler à la télévision et dans la presse. Les deux médias lui permettent d’apprendre différentes méthodes d’éclairage et aussi des techniques de manipulation d’images.
À son arrivée dans la province de Québec (Canada) en 2010, El Manos est tombé amoureux de la grande diversité des personnes, des cultures, des traditions, des activités, des paysages et plus encore. Source d’inspiration dans chaque ville, chaque coin, chaque expo, chaque conférence, chaque tasse de café…