Photo credit: ENRI (AI domestique)
DÉMARCHE CÉRAMIQUE - HORTICULTURE - ARTS NUMÉRIQUES (ENRI) ​ ​ ​ ​ Originaire d’Oromocto, au Nouveau-Brunswick, et membre de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk avec des racines grecques, ma démarche artistique interroge les dynamiques sociales et leurs transformations à travers des pratiques matérielles et numériques. Titulaire d’une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval, je m’engage dans une exploration des savoirs, de la transmission et de l’altérité, où le geste créatif devient un moyen d’approfondir notre compréhension collective des dynamiques sociales et culturelles, notamment par la technique du people watching, qui nourrit mes observations et inspirations. ​ Dans le cadre de ma formation en techniques de céramique à la Maison des métiers d’art de Québec (MMAQ), j’adopte une approche indisciplinaire en alliant céramique, intelligence artificielle et horticulture. La céramique, avec sa malléabilité et sa durabilité, constitue pour moi un médium permettant de rendre tangibles les tensions et mutations sociales au travers d’un langage sculptural. Mon travail s'enrichit également par l’utilisation de l’intelligence artificielle, à travers ENRI, un co-créateur générant des images issues d’une collection personnelle de photographies de corps nus, végétaux, motifs léopard et scènes de rue. Ce processus ouvre un champ d'associations visuelles inattendues, révélant des narrations fragmentées qui mettent en question les récits dominants et apportent à ma pratique une richesse de significations nouvelles. ​ À travers mes installations dans des espaces non conventionnels, je cherche à redéfinir le rôle de l’artiste comme médiateur de récits collectifs. Mes œuvres invitent à une réflexion sur notre relation au monde naturel et social, intégrant des éléments vivants et des symboles en perpétuelle évolution. Originaire d’Oromocto et membre de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk, j'explore les dynamiques sociales à travers la céramique, l’horticulture et les arts numériques. En alliant techniques matérielles et numériques, ma pratique questionne les notions de transmission et d’altérité. Avec la céramique, je rends tangibles les tensions sociales, tandis que l’intelligence artificielle, par l’intermédiaire de ENRI, génère des narrations fragmentées, révélant de nouvelles perspectives visuelles. Ce dialogue entre l’humain et la machine inscrit mon travail dans une réflexion contemporaine, où l’art devient un espace d’expérimentation et de réévaluation des récits dominants.

Originant d’Oromocto, au Nouveau-Brunswick, membre de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk et d’ascendance grecque, je développe une pratique artistique centrée sur l’exploration des dynamiques sociales et culturelles à travers la céramique, l’horticulture et les arts numériques (AI). Titulaire d’une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval et actuellement en formation en technique de céramique à la MMAQ (Maison des métiers d’art de Québec), j’aborde la création sous une perspective indisciplinaire, intégrant des pratiques matérielles et numériques pour interroger les notions de transmission, d’altérité et de résilience.

Dans ma démarche, la céramique occupe une place prépondérante en tant que médium sculptural permettant de matérialiser les tensions et transformations sociales. Le geste de modelage et les caractéristiques de l’argile, à la fois malléable et durable, symbolisent pour moi les liens communautaires et la capacité de résilience collective. Ce langage se voit enrichi par des expérimentations avec l’intelligence artificielle, notamment avec ENRI, un co-créateur numérique qui génère des images à partir d’une collection personnelle de photographies.

Ce processus créatif ouvre la voie à des narrations visuelles fragmentées, questionnant les récits dominants tout en créant de nouvelles significations.

À travers des installations dans des espaces non conventionnels, j’envisage l’artiste comme médiateur de récits collectifs, invitant à une réflexion sur nos relations au monde naturel et social. En intégrant des éléments vivants et des symboles changeants, je vise à créer des œuvres qui redéfinissent le rôle de l’art comme lieu d’expérimentation et de recherche, plutôt que comme produit fini. Ce dialogue continu entre l’humain et la machine, inspiré par les dystopies d’Orwell et l’esthétique hybride d’Akira, constitue un espace de questionnement sur l’archive, la mémoire collective, et les récits contemporains.

Cette démarche, articulée autour des notions de rupture et de réparation, vise à interroger et réinterpréter les archives visuelles et culturelles dans un contexte contemporain, en explorant l’interaction entre tradition et technologie au sein de la pratique artistique.

– ChatGTP

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