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Artiste interdisciplinaire de la Montérégie, enseignante au collégial et formatrice indépendante en arts visuels, Evelyne Bouchard est également titulaire d’une maîtrise interdisciplinaire en art, à l’Université Laval. Ses recherches artistiques examinent la malléabilité interhumaine, par des situations dialogiques, des œuvres furtives, performatives et liées à l’écriture.

Diplômée du baccalauréat en arts visuels et médiatiques, profil pratique artistique (B.A.) diplômée en 2020, Évelyne est boursière de ARTCH et récemment du CALQ pour concrétiser son projet De la terre à l'argile.

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Florence Viau (1998) est une artiste multidisciplinaire qui vit et travaille à Tiohtià:ke/Montréal où elle entame une maîtrise en sculpture à l’Université Concordia (2025). Elle détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (2021) accompagné d’une bourse d’excellence de la Fondation McAbbie en sculpture. Elle participe notamment au projet À l’affiche d’Arprim en partenariat avec l’UQAM et différentes expositions collectives, dont ARTCH art contemporain émergent (4e édition) au Square Dorchester, Paramètres XXI à la Place des Arts, Points de bascule au Centre CLARK ainsi que Shovelling Workshop au Livart. Son travail est également présenté chez Arprim centre d’essais en arts imprimés lors de l’exposition collective Première impression, où elle est nommée lauréate du Prix Albert-Dumouchel pour la relève en art imprimé de 2020-2021. Ses œuvres font partie de collections dont la Ville de Longueuil et le Musée Pointe-à-Callière, cité d’archéologie et d’histoire de Montréal.

Florence-Ariel Tremblay est une artiste originaire de Chicoutimi, établie à Tio'tia:ke / Montréal depuis 2010. Initiée à la sérigraphie durant ses études en design graphique au Cégep du Vieux-Montréal (2008), elle a développé ses connaissances des arts d’impression, de la céramique et de la photographie durant son BFA à l’Université Concordia (majeure en Print Media, 2019).

Artiste en arts visuels de la relève, France Benoit, accorde une attention particulière aux médiums et la matière et privilégie l’encaustique. Auparavant artisane de 2004 à 2016, France Benoit a fait partie de la coopérative l’Empreinte dans le vieux Montréal dont elle fut la présidente pendant 3 ans. L’implication sociale est importante pour elle et elle s’implique bénévolement dans l’association Blainville-Art dont elle fait partie du conseil d’administration depuis 2020. Elle est aussi membre du RAAV et de IEA (International Encaustic Artists).

Suite à de nombreuses études universitaires en arts, informatique, communication et littérature, MALO poursuit sa recherche artistique sur l'être humain actif amorcée il y a plus de 40 ans. Membre de plusieurs associations professionnelles, son répertoire élargi continu de faire l’objet d’expositions, d’honneurs, d’articles de journaux et d’insertions en livres d’art tant au Québec qu’à l’International.

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Artiste au parcours atypique – travail de rue, intervention sociale, études en histoire, gestion communautaire –, France-Anne Blanchet a pris de façon naturelle, intuitive, le chemin de la création artistique. Écrivaine et conteuse depuis 2006, artiste textile (2010-2015), artiste de la scène (2014) et des arts visuels (2021), dresseuse de poules, créatrice multimédia et médiatrice culturelle (2019), France-Anne incarne parfaitement le rôle d’artiste multidisciplinaire.

De souches italiennes, l’artiste Francesca Penserini vit et travaille à Montréal. Après avoir obtenu un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia en 1984, elle poursuit des études à Florence et à Chicago. Enfant, elle se passionne pour le dessin et la sculpture s’installe naturellement dans son parcours. Au fil du temps, elle expérimente avec plusieurs techniques de production : modelage, assemblage, moulage et taille directe dans le bois. Elle s’inspire de méthodes ancestrales complexes qu’elle adapte selon ses besoins de création. Elle affectionne les matériaux de modelage tels : le plâtre, la cire et l’argile. Ses oeuvres sont présentées sous forme d’installations où les éléments mis en scène révèlent des surfaces marquées par le passage récurrent de l’outil dans la matière. Sans doute, le legs familial d’une mère couturière. Intimement liées à la nature, les œuvres de Francesca Penserini posent un regard sur l’éphémère, sur le cycle de la vie, sur le temps qui passe, laissant son empreinte érosive sur l’être et sur l’objet. Sandra Miville, 2020