Bien qu’elle ait toujours eu un grand intérêt pour les arts, c’est vers le domaine de la psychoéducation qu’elle a d’abord choisi de s’orienter, tout en ayant l’intention d’utiliser les arts dans ses interventions. En 2020, elle prend la décision prendre une retraite anticipée et de réaliser son rêve d’avoir tout son temps pour créer.
Dès le début de ses études en arts visuels à l’université de Sherbrooke, la beauté et la fragilité de la nature ainsi qu’une approche écoresponsable se sont avérées des éléments centraux dans sa pratique.
Après s’être concentrée sur la fabrication et l’exploration des encres végétales pendant quelques années, elle se concentre actuellement sur la culture de tissus racinaires dans une approche de collaboration qui se veut ludique avec les racines des plantes cultivées. Son intention est de susciter des réflexions en lien avec les comportements anthropocentriques de l’humain face à la nature.