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Jacynthe Bourgault ou, est née à Garthby en 1954, fait ses études. C’est sur le marché du travail qu’elle réalise que son destin est autre part. En 1973, elle se marie, s’installe à Saint-Félicien au Lac Saint Jean, y demeure 35 ans. C’est à cette période qu’elle redécouvre sa véritable passion tout d’abord pour le dessin, ensuite pour la peinture. Elle étudie en art, fréquente différent ateliers artistiques et stages en perfectionnement se succèdent ne faisant que confirmer son rêve. C’est en 1992 qu’elle ouvre son atelier-galerie, y enseigne dessin, peinture tant aux jeunes qu’aux adultes. C’est une cinquantaine de personnes qui fréquentent son atelier chaque semaine, cela durant une vingtaine d’années. Pendant cette période, elle participe à plusieurs symposiums où elle remporte prix et mention. On retrouve de ses œuvres dans différentes Galeries de 2002 à 2011. En 2008, elle revient dans sa région natale, installe sa Galerie d’art où ses œuvres sont exposées en permanence.

Florian est un artiste interdisciplinaire dont le travail est centré sur l’observation des codes de la société de consommation et de ses processus de marchandisation. Dans ses œuvres, l’artiste offre une analyse attentive des modèles médiatiques qui façonnent et en même temps fragilisent notre identité. Fan de hip-hop depuis son enfance, il en fait le sujet privilégié de sa création.

James Kennedy est un artiste visuel né à Québec en 1973, il vit et travaille à Montréal. Depuis 2008, James explore différentes techniques telle que la coupe au laser, la gravure, la sérigraphie et la photographie pour donner naissance à des tableaux d’acier. Il s’intéresse particulièrement à la tension, entre robustesse et légèreté profonde, que créé ce métal quand il est ajouré. C’est cette dichotomie qui constitue la force de ses créations en ton sur ton. Il explore les propriétés plastiques et physiques de l’acier de même que ses liens avec la géologie, la géographie et l’industrie. Ainsi, faisant suite aux séries intitulées Continents (2008–14), Îles et Lacs (2014–18), l’oeuvre récente de James Kennedy s’affirme dans la figuration en dévoilant des structures et sites industriels emblématiques de l’utilisation historique de l’acier dans les domaines de l’architecture et de l’ingénierie. A travers cette série, James fait se rencontrer les arts plastiques et les techniques de création industrielle dans des oeuvres fortes marquées par leur évidence.

Né à Bratislava, Slovaquie FORMATION PROFESSIONNELLE 1969-1973 Collège des métiers d’art à Bratislava, Slovaquie – Sculpture sur pierre 1976-1980 Haute École de Beaux-Arts à Bratislava, Slovaquie – Atelier de verre en architecture Établis au Canada en 1984

Janet Blais est une artiste en arts visuels et muséologue. Elle est originaire de Montréal et possède plusieurs diplomations, tel : un certificat en Gestion et prospective du travail, un certificat en Arts et Design, un Baccalauréat en Arts Plastiques. Ensuite, elle s’implique dans la région de la Mauricie comme présidente de L’association d’artistes L’oeil Tactil (1999-2004). Elle créera plusieurs projets d’exposition. Elle poursuivra une formation au 2ième cycle en Muséologie et en Archivistique. Au cours de sa carrière, Janet Blais s’est impliqué dans le milieu artistique et culturel, et ce, depuis plus d’une vingtaine d’années. De 2010-2018 elle est la directrice de L’espace contemporain de Montréal. Son expertise comme commissaire et à la mise en espace d’oeuvre d’art, lui confère une habileté critique d’organiser des projets ou des activités culturelles en utilisant L’EXPOSITION comme média de communication. Un langage visuel qui lui est propre afin de sensibiliser ou de faire connaître l’ART de toutes sortes. En parallèlement à ses réalisations, elle évolue artistiquement par une recherche artistique axée sur les façons de construire et de comprendre une oeuvre. Sa démarche se base particulièrement sur les textures et les différentes possibilités que donnent les matériaux sur la couleur. Elle s’attarde beaucoup à la mise en espace et à l’impact visuel du discours par rapport à ce qu’il renvoie.