Alexandr Vichnevski (Kiev, 1954) a été diplômé en arts visuels en Ukraine. Il a participé à des expositions individuelles et collectives dans différents pays, où ses œuvres se retrouvent dans des collections privées. Ses toiles, signées Alejandro, s’inspirent du réalisme magique et veulent illustrer le mystère et la nostalgie du tango et des vieux quartiers argentins, où il a vécu pendant dix ans. Ses oeuvres ont été sélectionnées pour produire le logo et les affiches officiels du Festival international de Tango de Montréal et de celui de Buenos Aires. On retrouve ses toiles dans une exposition permanente à la Compagnie de danse Tango Libre, à La Guilde Graphique, sur la rue des Artistes dans le Vieux-Montréal et sur la rue du Trésor dans le Vieux-Québec.

à venir

DeLeclerc, artiste sculpteur internationalement reconnu, a notamment exposé à New York en plus d’être allé en Europe, à Paris, à Bruxelles et à Londres. Au Québec, il a fait sa marque au Palais des Congrès à Montréal, à Montréal-Nord, à Dunham, à Laval, à Saint-Jacques et compte à son actif plusieurs œuvres monumentales.

Hamad Alhenawi est un artiste visuel basé au Québec, il est diplômé de l'Université des Beaux-Arts de Damas en 1998 dont les médiums s'étendent à travers la peinture et la sculpture, explorant les domaines complexes du portrait, des paysages et de l'abstraction. Son parcours artistique est orné de nombreuses expositions individuelles et collectives, couvrant une variété de scènes mondiales, enrichies par des ateliers participatifs qui approfondissent le dialogue entre l'artiste et l'observateur. Son œuvre est profondément enracinée dans une philosophie personnelle façonnée par un engagement fervent envers la philosophie, la littérature et la physique théorique. Ces disciplines guident sa compréhension et son expression des valeurs humaines — beauté, amour et paix — transcendant les frontières conventionnelles de la religion, de l'ethnicité et de la géographie. Son but est de résonner l'effort humain collectif vers des valeurs supérieures qui ont évolué à travers les millénaires. Le concept d'unité dans la diversité influence considérablement mon art. Alhenawi croit en la connexion intrinsèque de toutes les formes de vie, plaidant pour une relation symbiotique entre l'humanité et la nature. Cette perspective est cruciale, notamment parce qu'elle contrecarre la discorde observée dans son pays natal, la Syrie. Les dures réalités de la guerre l'ont profondément marqué, poussant son expression artistique vers des thèmes qui condamnent la violence et plaident pour la compassion et la coexistence. À travers son art, il s'efforce de favoriser un dialogue qui encourage la compréhension et l'unité, en utilisant les langages universels de la beauté et de l'émotion pour combler les divisions et inspirer un engagement partagé envers un avenir harmonieux.

Artiste visuelle, Jocelyne Thibault vit et travaille à Laval (Arts visuels et médiatiques, UQAM, 2010). Son travail prend forme à travers l’exploration des arts d’impression, le livre d’artiste et la sculpture. Elle s’intéresse à la frontière qui sépare le temps consacré à l’art et celui dédié au domestique, soit le moment de bascule entre ces univers et leur perméabilité. Elle est lauréate du prix CALQ-Artiste de l’année Laval 2021 et récipiendaire de bourses de recherche-création du CALQ-Entente territoriale Laval (2018, 2019). Son travail a été présenté au Québec (Montréal, Laval, Trois-Rivières, Longueuil, Boucherville, Matane), en Suisse et en Espagne.

L’observation de la nature en évolution est au centre de ma démarche artistique. Je m’intéresse aux traces qui marquent les étapes de sa transformation et qui semblent figer dans le temps ces états passagers pour mieux en saisir le sens et en proposer une vision poétique. Par la pratique de diverses techniques telles que la peinture, le moulage, le dessin et la sculpture, je réalise des compositions de formes inspirées de motifs créés entre autres par l’eau en mouvement, la cassure d’une vague, les empreintes laissées sur le sable à marée basse, ainsi que les écorces des arbres. Mon approche contemplative est constamment mue par mon intérêt pour la matière, l’exploration des matériaux et l’apprentissage de nouvelles techniques.

A contemporary Syrian Canadian artist painter based in Laval, Quebec, working in a variety of medium including painting, sculpture, and mixed media.Backed by a dual major in fine arts and media, she created a major theme of her artwork as the cultural connection between strongly rooted memories of the Orient and the continuously evolving western civilization. Using her artwork, she continuously opens new eyes to Canada as the place where the mix of civilizations create a new mosaic picture that represents humanity. The work of Randa sheds the light on many humanitarian issues, expresses the issues of injustice, poverty, and elimination, all in a harmonious and unique presentation. Randa’s work was regarded by the Canadian Federal Council of Art and the circle of painting artists and sculptors of Quebec.She was granted several awards for her work that was exhibited in many countries across the world.

Nome d'artiste : Rodica Vinca, citoyenne canadienne, je pratique la peinture depuis 20 ans . Je commençait avec aquarelle, après peinture sur bois et verre ( byzantine icons) et aussi sur canvas. Je suis membre de CAPSQ ( Cercle des Artistes Peintre et Sculpteurs du Quebec) et aussi la présidente de L'Union des Artistes et musiciennes Roumaines du Canada ( UAPMR Ca ), je participe et organise des evenimments culturelle avec les artists. Absolvente d’université Cluj-Napoca Roumanie .

Stéphanie est une Lavalloise d’adoption. Elle jongle avec sa vie d’artiste, de mère, et de géographe. Elle a complété un certificat en arts visuels à l’UQAM en 2019 et poursuit ses études au baccalauréat en beaux-arts à l’Université Concordia. Amoureuse du papier, elle navigue entre les arts imprimés, l’installation et la sculpture. En 2020, avec Julie Lequin pour mentore, elle participe au projet de mentorat en recherche création de Verticale – centre d’artistes. Ce fut l’amorce d’une réflexion sur l’importance du regard de « l’autre ». Comment le regardeur se projette-t-il dans ce qu’il regarde ?