J’ai toujours pensé que la peinture avait un pouvoir magique : être le reflet, parfois dur, de ce que nous sommes. C’est pourquoi je tourne autour, l’observe, la scrute, la touche, la renverse, la rejette bien souvent, dans une love-hate relationship viscérale. Pour mieux comprendre, j’ai aussi fait des choses sérieuses comme une maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’UQAM et exposé mon travail dans plusieurs galeries montréalaises. Depuis, je poursuis mes recherches dans un atelier du quartier St-Henri à Montréal où j’admire quotidiennement les grand hérons sur le canal Lachine.